Les nouveaux barbouzesContrairement aux détectives qui doivent être titulaires d’un agrément préfectoral pour exercer leur métier, l’intelligence économique n’est pas une profession (encore ?) soumise à un contrôle propre, d’où les dérives récurrentes que connaît cette activité.

Dans son livre « Les nouveaux barbouzes – Enquête sur la privatisation de l’espionnage » publié chez Robert Laffont, le journaliste Emmanuel Fansten a enquêté sur la multiplication de ces entreprises d’intelligence économique qui basculent parfois dans l’illégalité. Un secteur qui emploie notamment d’anciens policiers, gendarmes, militaires ou retraités des services secrets.

Le site Slate publie les meilleures feuilles de ce livre où l’on retrouve les dernières affaires d’espionnage et leurs acteurs principaux : Renault, Greenpeace-EDF, Total…